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Lait d'Beu
21 mars 2021

coagulation intravasculaire disséminée

Ne croyez pas que je veuille ramener ma fraise d'ex-infirmière mais il se trouve que c'est une affection à laquelle je me suis intéressée depuis longtemps et qui m'est revenue en mémoire à la suite d'une sordide affaire survenue le 8 mai 2018 au centre d'appel du SAMU de Strasbourg quand des bonnes femmes de ce service (plus une des pompiers) ont laissé mourir une jeune femme qui les appelait au secours, et qui plus est en se fichant de sa figure comme si elle ne se plaignait que de règles douloureuses mais ses douleurs allaient bien au-delà (perso, sur ce chapitre j'en connais un sacré rayon et n'aurais jamais appelé les secours d'urgence ni même mon médecin traitant).

Quand elle leur dit "je vais mourir" l'une de ces taspé lui répondit quelque chose comme "ça nous arrivera à tous un jour". Soit. C'est ce que nous pouvons retirer des nombreux enseignements de Marcel Camus qui, contrairement à l'opinion méprisante de certains n'est pas uniquement un philosophe pour bacheliers. 

Toujours est-il que ces mégères (non apprivoisées) ne crurent pas bon de transmettre l'appel au médecin régulateur - un urgentiste qualifié assumanr ce rôle en alternance avec ces collègues - qui aurair sans doute su procéder à un interrogatoire permettant d'orienter son diagnostic. Nous ne saurons jamais si cela aurait permis de la sauver. Mais cette affaire aura permis de comprendre que la formation médicale des opératrices du SAMU laissait particulièrement à désirer. Comme toujours à la suite d'un scandale il fut promis d'y remédier. Un voeu pieux de plus ?

En ce qui me concerne, ce fut le terme de "disséminé" qui me fit réagir, en me souvenant que c'était particulièrement grave mais impossible alors de le rattacher à quelque chose de particulier. A ceci près que nous apprenions que les uns après les autres tous ses organes avaient présenté des hemorragies massives jusqu'à l'épuisement définitif. 

Je me suis donc plongée dans une de mes "bibles" médicales, tenue en très haute estime par de nombreuses collègues infirmières la "petite encyclopédie médicale" de Jean Hamburger où j'ai exploré toutes les rubriques d'hématologie pour, bingo ! y trouver exactement ce que je recherchais. Une rubrique entièrement consacrée à cette pathologie.

Pourquoi en parler aujourd'hui ? Parce que, concernant les décès par thromboses liées à la vaccination avec l'AstraZeneca l'hypothèse d'une fragilité liée à des antécédants de phlébite me paraissait plausible. Ils restent au demeurant une contre-indication absolue à la vaccination contre le Covid.

Mais s'agissant des patients (8 ?) décédés en Europe je crois que cette hypothèse ne tient pas la route. Quelques rares médecins (peu relayés sur les chaînes d'info) parlanr d'un mécanisme très particulier touchant des sujets plus jeunes (entre 20 et 40 ans) ne présentant aucun facteur de risques particulier et pour lesquels les données cliniques relevées seraient évocatrices du syndrome de coagulation intravasculaire disséminée notamment parce q'il ne serait retrouvé que de micros thrombus alors que les organes essentiels seraient touchés par des hemorragies massives.

La littérature médicale nous apprend que cette affection peut avoir de multiples causes amis j'en retiendrais une : un choc "anaphylactique" - allergique - au vaccin (comme la malheureuse victime de Strasbourg a vraisemblablement succomé à une "overdose" de paracétamol dont nous connaissons aujourd'hui parfaitement les dangers our le foie et les reins.

Quant au traitement, je suis relativement sceptique s'agissant de l'héparine (sachant qu'en tant d'anticoagulant il augmente les risques d'hémorragie mais on sait manier parfaitement l'antidote qui réagit rapidement contrairement aux antivitamine K pour lesquels il faut administrer rapidement des "facteurs de coagulation" délivrés par les "banques du sang" départementales.

Avant que l'état du patient ne se dégrade inexorablement, le traitement de choix me paraît être ce que l'on nomme l'exsanguinotransfusion qui consiste à remplacer totalement le sang impur du malade en même temps qu'on lui transfuse du sang frais. On remplit en même temps qu'on vide. C'est une technique maîtrisée depuis longtemps à la fois chez les bébés en cas d'incompatibilité de facteur rhésus des parents et pour des personnes rhésus négatif qui auraient été transfusées (par erreur ?) avec du sang de rhésus positif.

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A
J'écris d'Italie, j'ai été guéri par le Dr Jekawo, un phytothérapeute traditionnel qui a guéri de nombreuses maladies comme le VIH/sida, l'herpès, le diabète, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, l'hépatite et le cancer. Un de mes amis m'a dit de contacter le Dr Jekawo et après l'avoir contacté, il m'a ensuite préparé un médicament à base de plantes qui a complètement guéri mon hépatite et mon cancer de la prostate après avoir bu ses médicaments à base de plantes pendant 15 jours. Je suis tellement reconnaissante en ce moment et j'ai envie de partager ceci ici afin que tout le monde puisse être soigné par le Dr Jekawo. ses coordonnées e-mail sont : drjekawo@gmail.com il guérit tant de maladies et ils l'appellent un grand guérisseur.<br /> <br /> <br /> <br /> Merci à l'administrateur du blog.,,,,
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Lait d'Beu
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